TD5 : Équations de mots, Groupe symétrique

EX 1

a) Initialisation : immédiat, si u=v=𝜀

b) Hérédité :

Sans perte de généralité : |u||v| :

  • Si u=𝜀 : immédiat
  • Sinon :

vuv, et uuv=uvu

d’où

uv=vu et par hypothèse de réc, il vient que : il existe un mot w tq :

  • u=wn
  • v=wm

donc v=wn+m, et le résultat est acquis.

EX 2

On remarque que si |u|=|v|, n=m, et u=v.

( Par réc sur |u|+|v| : il existe un mot w tel que

a) Initialisation : immédiat, si u=v=𝜀

b)

  • Si u=𝜀 : immédiat
  • Sinon :

Sans perte de généralité : |u|<|v|, donc m>n.

De plus, on peut supposer que |u||v|=1, car sinon : um=vn et il vient que un=vm ) _____

  • Sans perte de généralité : |u|<|v|, donc m>n.

  • Supposons que |u||v|=1

Bézouta,b;a|v|b|u|=1, avec

  • a<|u|
  • b<|v|

Pour toute lettre wi (i<|v| )

wi=wi+a|v|=wi+a|v|b|u|=wi+1

NB : wi+a|v|b|u| reste une lettre, car :

i+a|u|(a+1)|u||u||v||w| car |u|,|v|/|w| et |u||v|=1

donc a𝛴;u,v,wa

Puis, dans le cas général, on trvaille sur l’alphabet : on pose Aa1ada1ad,

on ne s’écrit qu’avec une seule lettre sur cet alphabet, d’où :

𝛼1,,𝛼d𝛴;u,v,w(a1ad)

EX 3

⟹ : z=x

⟸ :

  • Si |u||z| : u=zx et v=xz (par l’identité dont on dispose)

  • Si |z|>|u| : Par réc sur la taille de z :

z=ux et z=xv ⟶ HR : u et v conjugués, car |x|<|z|

EX 5

Soit M un monoïde fini.

C’est le quotient du monoïde M par la relation d’équivalence “u et v ont la même image par le morphisme de monoïde qui envoie les lettres sur les lettres”

EX 6

1) Principe des tiroirs.

2)

a) évident, sinon xji contredit la minimalité de l (où 0i<jl1 vérifient xi=xj)

b) évident, par division euclidienne des exposants par l

c) xpxr=xp+r=xp+lk=xlxpk=xkxpk=xp

{{xk,,xl1}/(lk)xppr

est un homomorphisme de Ker trivial : isomorphisme.

d) xr est idempotent, et c’est le seul car c’est un groupe (un seul idempotent : le neutre).

EX 11

1)

Existence :

On considère les orbites de l’action définie précédemment :

1,n=O orbiteO

et :

𝜎=O orbite𝜎|O

Unicité :

Si 𝜎=i𝛾i=i𝜎i sont des décompositions en cycles à support disjoints,

alors pour toute orbite O, il existe i,j tq 𝛾i=O=𝜎j

2) C’est le ppcm des ordres des cycles.

3) C’est le max des ppcm des toutes les décompositions de l’entier 6 :

  • 1, 2, 3
  • 2, 2, 2
  • 6

ormax,𝕾6=6

4) On dessine le graphe de 𝜎 : les cycles du graphe sont les cycles de la décomposition de 𝜎.

a) b) 8

EX 12

1)

M1 :

Tout cycle s’écrit en produit de transpositions.

2) M2 :

Par réc sur n

  • Initialisation : immédiate pour n=2
  • Hérédité :

    • Si 𝜎(n+1)=n+1 : on se ramène au cas précédent
    • Sinon, on multiplie 𝜎 par (𝜎(n+1),n+1) et on se ramène au point précédent.

$(1,n) = ()

3)

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